Private Equity

Diversifiez vos placements en investissant dans des entreprises non côtées

Financez la croissance des entreprises les plus performantes de demain

Le private equity, ou capital-investissement, désigne l’investissement dans les sociétés non cotées en bourse. Il s’agit donc d’acheter des parts de petites et moyennes entreprises, en cours de développement, dont les actions ne sont pas cotées.

Quelle peut être la rentabilité d'un investissement en private equity ?

Le principal avantage du private equity est sans conteste son rendement potentiel. Il s’agit en effet de financer des sociétés prometteuses peu matures, et en montant au capital à leur débuts, la plus-value pourra être très importante. 


Le potentiel de gain, tout comme le risque de perte, est très élevé

Investissez en Private Equity via des fonds d'investissement

Ces fonds majoritairement investis en sociétés non cotées comportent une période de souscription, puis une période d’investissement et une période de liquidation. 

Malgré un fonctionnement très rigide et une durée de blocage des fonds conséquente, ils représentent une solution assez avantageuse pour le particulier qui souhaite investir dans le non coté, notamment au regard de leurs avantages fiscaux.

Les FCPR (Fonds Communs de Placement à Risque)

Ces fonds sont composés à 50 % au moins de sociétés non cotées en bourse. Ce type de fonds est à haut risque et l’investisseur peut potentiellement perdre tout son capital, ou réaliser d’importantes plus-values. 

Il s'agit d'une solution idéale pour les particuliers souhaitant investir en Private Equity. Certains FCPR fiscaux permettent de bénéficier d’une exonération d’impôt sur le revenu sur le produit des parts qui est versé à l’investisseur.


Ils sont composés de PME de moins de 250 salariés et de moins de 50 millions d’€ de chiffre d’affaires. Ces fonds doivent inclure des investissements concentrés sur une région précise et doivent être investis à hauteur de 70 % minimum au sein de PME.

Ils sont composés de sociétés dites innovantes de moins de 2 000 salariés. Ces types de sociétés sont caractérisés par un seuil nécessaire d’investissement en Recherche & Développement (R&D) d’au minimum 15 % de leurs dépenses globales.